• Vous avez dit Prime !...Les salarié.e.s attendaient de vrais mesures salariales, la réponse est surréaliste !... Les organisations syndicales représentatives (CGT, FO, CFDT) étaient appelées à négocier sur la répartition de l’enveloppe allouée par le ministère pour le prime exceptionnelle. Aucune négociation, il s’agissait plutôt de nous informer sur l’arbitrage du Comex : Attribution d’une prime de 200 euros net aux seuls agents dont le coefficient développé (coef de base + points d’expérience + points de compétence) est inférieur ou égal à 259 points. Ce qui représente environ 20% du personnel, et rien pour près de 80% des autres salarié.e.s !

    Pour la CGT cela est inacceptable et montre encore une fois tout le mépris accordé au personnel. Cette proposition est soumise à signature aux organisations syndicales jusqu’au 12 mars. Faute de signataire, l’employeur devra revenir vers le Comex pour avoir mandat sur une éventuelle décision unilatérale lui permettant d’appliquer le dispositif.


  • Après plusieurs grèves où les salarié.e.s de la Sécu se sont massivement mobilisé.e.s, nous avons enfin une réponse du ministère  : uneInfo Salaires : Enfin des nouvelles du ministère ...
    enveloppe exceptionnelle sera consacrée à l’attribution d’une prime qui toutefois n’entre pas dans la cadre législatif de la prime Macron, et un taux d’évolution de la RMPP en légère augmentation afin de favoriser les négociations relatives à la classification. 

    Pour la prime, l’enveloppe allouée correspondrait à un montant de 60 à 70 euros par salarié.e...!! le directeur de l’UCANSS vient de nous informer que cette prime ne sera pas attribuée à tout le personnel, mais ciblée sur les bas salaires. Si la CGT ne conteste pas la nécessité de favoriser les bas salaires, elle a rappelé l’urgence d’une augmentation de la valeur du point et l’attribution d’une prime pour tout les agents. L’UCANSS va convoqué une réunion avec les organisations syndicales pour négocier l’attribution de cette prime ... À suivre donc, mais la CGT ne se contentera pas de se partager des miettes, le personnel n’attend pas l’aumône mais une vrai reconnaissance et valorisation de son travail.




  • Salaires - Primes ... : Toujours rien, que du mépris !Suite aux journées d'action des 18 décembre et 29 janvier, où le taux de grévistes était d'environ 30% sur toute l’institution, avec des chiffres atteignant 60% sur certains organismes, toujours aucune réponse face à l’urgence sociale et salariale exprimée par le personnel.

    Le 29janvier, sur notre région une délégation était reçue à la préfecture (Sabine Grangy y représentait la CGT de notre UGECAM), et une autre à Paris au Ministère des Solidarités et de la Santé. Nous avons tous décrit une situation totalement dégradée dans tous les organismes : aucune augmentation de salaires depuis plusieurs années, aggravation des conditions de travail, mutualisations-fusions-réorganisations permanentes, suppressions de postes, sous-effectif chronique... paradoxe dans un contexte qui demande plus de services publics répondant aux besoins de la population. Pour les UGECAM, nous somme intervenus sur les problèmes de sous-dotation mettant en péril les établissements de la Sécurité sociale, de recrutement de médecins ou de soignants (ASD..) rendu difficile par notre grille salariale avec des rémunérations insuffisantes...

    En réponse : un  peu de pommade ... sur la satisfaction quant à l'investissement de tout les agents ... Par contre rien sur la valeur du point ... quant à la prime exceptionnelle, elle serait toujours à l'étude avec une réponse claire sur fin janvier. Nous sommes début février et toujours rien .... Quel mépris envers les salarié.e.s et le dialogue social !!!


  • Depuis de nombreuses années, les politiques menées génèrent de fortes injustices sociales, territoriales et fiscales. La CGT n’a cesséPour répondre à l’urgence sociale, la CGT appelle à la grève le 5 février d’alerter les pouvoirs publics, de mobiliser dans les entreprises et les services contre les réformes régressives et pour une autre répartition des richesses produites dans le pays. Gouvernement et patronat sont restés sourds et ce ne sont les les mesurettes récentes annoncées en réponse au mouvement des gilets jaunes qui répondent aux urgences sociales. Les 57 milliards d'euros versés aux actionnaires démontrent l’ampleur des richesses créées par les travailleurs. Au delà des mobilisations citoyennes, il est indispensable de construire un rapport de force pour imposer la redistribution des richesses. 

    La CGT appelle les salarié.e.s, les jeunes, les retraité.e,s, les privé.e.s d’emploi à se mobiliser le 5 février pour obtenir :

    • une augmentation des salaires et des pensions
    • une réforme de la fiscalité plus juste, avec le retour de l’ISF
    • le développement des services publiques, partout sur le territoire, avec des moyens suffisants en personnel...





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