• La cible à combattre doit être le virus, pas les salariés !La CGT réaffirme, avec force et sans ambigüité, sa position sur la nécessité de la vaccination pour combattre efficacement la pandémie mais s'oppose à l'obligation vaccinale, ainsi qu'à toutes mesures antisociales. La voie de la conviction est préférable : Convaincre sans Contraindre ! La CGT rappelle qu'elle est farouchement attachée à la liberté individuelle de chacun, un des socles de notre démocratie.

    Nous déplorons la culpabilisation des personnels du sanitaire et du médico-social. Depuis le début de la crise sanitaire tout et son contraire a été dit : ils ont été contraint de travailler, au début de l'épidémie, sans protection individuelle (pénurie de masques et sur-blouses) et sans organisation de travail cohérente, puis à venir travailler en étant positif asymptomatique, jusqu'en février 2021. Et là, le gouvernement veut se dédouaner de ses manquements et déplacer la responsabilité sur les soignants. Les personnels qui n'en peuvent plus, ils sont épuisés physiquement et moralement. Un grand nombre est en burn-out, d'autres démissionnent. En retour ils ne reçoivent que du mépris et de la stigmatisation de la part de ce gouvernement. Une loi faisant peser des menaces sur les professionnels, ne peut être la réponse à cette crise sanitaire. Car nous avons urgemment besoin de reconnaissance salariale mais aussi de lits supplémentaires, et de moyens humains avec des effectifs suffisants qui permettent d'accueillir, d'accompagner et de prendre soin de la population.  Lire : Communiqué de Presse CGT : Non au flicage et a la régression sociale


  • Val Rosay / Tresserve : les salariés mobilisésMardi 22 juin sur le Val Rosay, jeudi 22 juillet sur Tresserve (Télécharger ; article presse), les salariés étaient en grève pour dénoncer leurs conditions de travail inacceptables. Deux mobilisations massivement suivies, preuve de la colère et du ras l’bol des agents, qui n’en peuvent plus. Sur ces 2 établissements, les salariés ont déposés leurs revendications et porté des propositions, tant en terme de plannings, d’effectif, que de valorisations et compensations salariales.

    La situation actuelle ne peut plus durer, le rythme de travail n’est plus tenable mettant en danger la santé des salariés. Au regard des conditions de travail actuelles, certains professionnels ont déjà démissionné, d’autres s’interrogent et sont prêts à le faire. Il est urgent que nos directions entendent les salariés et répondent aux propositions. Leur silence actuel est assourdissant et dangereux pour l’avenir même de nos établissements !

    La CGT ne lâchera rien ! Nous attendons de vraies réponses, pas de demi-mesures, qui ne satisfont personne et ne règlent aucun problème. Les salariés restent mobilisés et seront si besoin se faire entendre encore plus fort ! 



  • Depuis plusieurs mois, nous rencontrons des difficultés importantes sur notre UGECAM. L'été va être compliqué et la rentrée Une UGECAM qui va mal - La colère lmonte §sera explosive si nos directions ne comprennent pas qu'elles doivent impérativement modifier leurs logiciels de management et de gestion qui nous ont poussé dans les impasses dans lesquelles nous nous trouvons aujourd'hui.

    La situation sur notre UGECAM est catastrophique :  plusieurs démissions de direction d'établissement, fuite de personnel (notamment soignant), difficultés de recrutement, conditions de travail déplorables... Un turn-over qui ne peut qu'interroger ? Certes l'application du Ségur, totalement injuste et inadmissible entre établissements et salariés, n'a pas facilité la cohésion, mais à elle seule  ne suffit pas à expliquer les problèmes qui se manifestent sur tous les sites (gouvernance, management, sous-effectif, conditions de travail...). La colère monte de partout, il est urgent que la directions générale et les directions locales écoutent et entendent les salariés.

    La gestion verticale et purement économique de notre UGECAM montre aujourd'hui toutes ses limites. Il est impératif de renouer un dialogue social sain et constructif. 



  • Le conseil d’état suspend la réforme de l’assurance chômage Le conseil d’état vient de retoquer les nouvelles règles de calcul de l’assurance chômage qui allaient baisser les indemnités de plus d’un million de demandeurs d’emploi. 1ère étape après des mois de lutte contre cette attaque d’ampleur contre les privés d’emploi. Ce n’est qu’une première étape, le gouvernement ne désarmera pas et si le référé du conseil d’état a été rendu en notre faveur il ne parle que de suspension de la mesure, pas de son retrait total. 
    Aujourd’hui réjouissons nous de ce camouflet contre ce gouvernement et de la victoire que constitue cette suspension. Mais soyons vigilants ! Renforçons les luttes pour le retrait total !

    Gagnons une revalorisation des indemnités, un emploi pour tous et une protection sociale universelle et solidaire !



  • La CGT appelle à faire de la journée du 12 juin le point de départ de la bataille pour éradiquer les idées de peur et de divisions pour ensemble, avec nos différences, donner des couleurs à notre avenir. Manifestation dimanche 13 juin à 15h Charpennes (place Charles Hernu - Villeurbanne). Télécharger « Flyer 13 Juin 2021.pdf »




  • Selon des travaux australiens publiés dans la revue « The Lancet », une politique de santé instaurant un minimumL’étude qui montre qu’embaucher plus d’IDE entraîne des économies.... d’un ou une IDE pour quatre patients lors des gardes de jour aurait des effets bénéfiques sur la mortalité, sur la durée de séjour et sur le nombre de réadmissions potentielles. Des économies à long terme représentent le double du coût des embauches supplémentaires ont également été observées. 
    Cette étude n’a pas été réalisé durant la pandémie de Covid,  les résultats s’inscrivent donc dans la gestion courante du système de santé. Les patients admis dans les établissements mieux dotés en personnel infirmier sont mieux soignés. Pas surprenant : l’augmentation du personnel réduit la charge de travail de chacun et favorise un meilleur suivi des patients, et une source d’économie.... Les chercheurs ont montré qu’en moins de deux ans, cette politique en évitant des décès, réduisant les durées de séjour et les ré-hospitalisations, était rentable économiquement. https://articles: l'étude qui montre qu’embaucher plus d’infirmiers sauve des vies et plus encore



  • Les organisations CFE-CGC, CGT FO ET SUD dans la Branche sanitaire sociale et médico-sociale et l’UGECAM ont décidé de ne pas signer l’accord de méthode tripartite « proposé » par le gouvernement dans le cadre de la mission Laforcade. Pourquoi ? : Ce texte ne répond pas aux revendications salariales légitimes des professionnel.le.s et exclut encore un nombre important de salarié.e.s de l’extension des 183 euros.

    Le gouvernement la refuse en effet à l’ensemble des salarié.e.s du secteur social, de l’aide à domicile, et dans le secteur du handicap aux personnels administratifs, généraux et éducatifs. Pour ces derniers, l’accord renvoie à une négociation salariale dans les branches, il est conditionné à un rapprochement des branches. En d’autres termes, au regard des logiques purement comptables actuelles, ce que le gouvernement n’octroie d’un côté qu’à une partie des salarié.e.s, il projette de pouvoir le reprendre de l’autre côté en remettant en cause les acquis des salarié.e.s par la remise à plat des conventions collectives actuelles.

    Organisations majoritaires, attachées à l‘amélioration des conventions collectives, à la négociation dans les Branches, les Fédérations CFE-CGC, CGT, FO et SUD tiennent à réaffirmer leur opposition au projet gouvernemental de politique de rapprochement administré des conventions collectives.

    Les syndicats employeurs NEXEM, Croix-Rouge française, FEHAP et le groupe UGECAM qui étaient vent debout contre l’injustice de ce traitement inégalitaire des salarié.e.s ont finalement tous signé cet accord.

    Pour les organisations CGT, FO et SUD, cet accord est inacceptable et n’a aucune légitimité. Il a été signé seulement par deux organisations syndicales de salarié.e.s, dont l’une est non majoritaire et l’autre non représentative dans notre secteur ! Les Fédérations CFE-CGC, CGT, FO et SUD, fortes des revendications des salarié.e.s et des mobilisations en cours, demandent à être reçues à nouveau et rapidement, par le Premier ministre pour exiger : l’attribution des 183 € pour tou.te.s, public/privé, immédiatement et le maintien des conventions collectives. Lire communiqué de presse :  Télécharger « cp_intersyndical_06_05_2021_sans_contact.pdf »


  • Sortie aujourd’hui du dernier numéro de notre journal « CGT Info », diffusé également en version papier dans tous les établissements

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  • Le 1er mai, journée internationale de lutte des travailleurs, notre ambition à remettre en cause les logiques libérales, prend tout 1 mai 2021 : Agissons pour un monde juste, solidaire et durableson sens, avec l'objectif de transformer la société. Pour la CGT, notre ambition est de remettre l'humain et la protection du vivant au cœur de notre choix de société, en repensant le modèle de développement, de production économique, socialement compatible avec un futur désirable ! Pour cela, il faut changer de logique. Nous proposons un véritable plan de rupture pour arrêter la mécanique d'un système capitaliste qui multiplie les crises, sacrifiant l'humain et la planète.

    En ce printemps, mobilisons nous pour gagner tous ensemble une alternative avec des portiques sociales, économiques et environnementales pour améliorer nos conditions de vie.

    Lyon : manifestation à 10h30 de la place Jean Macé à Bellecour



  • 1001,55 € brut (pour un temps plein - sans absence pénalisante) sur notre UGECAM. La CGT demande depuis sa création  la transformation de cette prime en 1/2 mois de salaire (avec un montant minimum de 1000€), pour corriger son caractère aléatoire, injuste et non contributif.  Télécharger « FLASH INFO RPN Intéressement. pdf »

    Prime d’intéressement sur les UGECAM


  • Extension du Ségur au Médico-social : On lâche rien !Énorme mobilisation ce jeudi  8 avril sur notre UGECAM pour l'extension du Ségur à tous les salariés (établissements médico-sociaux et siège). La détermination du personnel ne faiblit pas, bien au contraire elle s’amplifie (record de grévistes sur le pôle Violette Germain où plusieurs professionnels ont été réquisitionnés !). La colère monte, il est temps que le gouvernement et nos tutelles réparent au plus vite cette injustice salariale issue des accords du  Ségur de la santé

    Qu'un seul mot d'ordre  : Même Travail - Même salaire  - 183 euros pour tous, quelque soit sa profession ou son établissement !




  • De plus en plus de scènes nationales sont occupée, pour demander leur réouverture (dans le respect des règles sanitaires) et des protections sociales pour les précaires (intermittents du spectacle, auteur, autrices...). Alors que la crise sanitaire plongent de nombreux salariés dans la précarité, le gouvernement l'accentue encore plus avec la nouvelle réforme du chômage !


  • Petite piqure de rappel en cette période où la Sécurité sociale et la Protection sociale dans son ensemble sont plus que jamais La Sécu c'est toute la vie ! Une création de la CGTessentielles pour nous permettre de vivre sans crainte du lendemain !

                                           Télécharger « 1. Santé - Hôpital »

                                           Télécharger « 2.- Maladie »

                                           Télécharger « 3. Accident du travail »

                                           Télécharger « 4- Famille »

                                           Télécharger « 5.- Retraite »

                                           Télécharger « 6.- Perte d'autonomie »

                                           Télécharger « 7.- Recouvrement »


  • LLundi 15 mars : encore plus de grévistes sur notre UGECAM !a colère ne faiblit pas, elle s’intensifie. Le taux de grévistes augmente encore... Tous les établissements  médico-sociaux et sanitaires ont répondu à l’appel lancé par notre syndicat pour exiger l’égalité salariale avec la revalorisation de 183€ pour tous les salariés (quelque soit leur établissement ou profession), la pérennité de cette revalorisation salariale et défendre  notre Convention Collective !

    Nous ne lâcherons rien... Ségur, Laforcade... Tout cela a assez duré ! Stop, les salariés veulent des réponses.  Nous attendons un positionnement clair et des engagements  lors de l’INC UGECAM du 1 avril. 



  • 8 mars : journée internationale de lutte pour les droits des FemmesCette lutte est indispensable, car nous sommes encore très loin d l’égalité entre les femmes et les hommes, et particulièrement au travail (rémunération, précarité, sexisme...).

    Revaloriser les métiers essentiels. La crise sanitaire a mis en évidence que les salariés de première ligne étaient majoritairement des femmes (infirmières, aides-soignantes, aides à domicilie, caissières, agents d'entretien...). Ces métiers, à prédominance féminine, ont des rémunérations souvent inférieures à d''autres professions de même qualification, technicité, responsabilité ou pénibilité. Pour mettre fin à ces écarts de salaires et de retraites, il faut impérativement revaloriser ces métiers sous-payés uniquement parce que majoritairement féminins ! Premières de corvées, nous voulons l'égalité maintenant !

    Mobilisons nous avec la CGT et le collectif droitdesfemmes 69 :  dimanche 7 mars 14h place Bellecour -  Lundi 8 mars à partir de 15h40 Place Jean Macé (avec des prises de paroles de salariées de 1ères lignes).



  • Pétittion pour faire du vaccin un bien public mondialLa CGT est engagée avec une large coalition d'ONG, d'associations, de syndicats et d'experts de la santé dans l'initiative citoyenne (ICE) pour faire du vaccin un bien commun.

    Cette période de crise fait suite à des années de stratégies d'optimisation des coûts par les grands groupes pharmaceutiques (délocalisation d'usines, coupe dans les budgets de recherche...). C'est la cas de Sanofi qui après avoir supprimé 6000 emplois, lance un 4ème plan d'économie avec 1700 nouvelles suppressions dont 400 en recherche, alors même que l'entreprise enregistre une hausse de 340% de bénéfice. La dépendance des Etats vis à vis des laboratoire est fondée avant tout sur le principe des brevets. Bien que les recherches sur les formules des vaccins soient quasiment entièrement financées par les Etats, les formules sont la propriété des entreprises pharmaceutiques. 
    Notre organisation demande que les formules des vaccins, quasi entièrement financés par les Etats soient libres, et que les usines en capacité de les produire soient mobilisées. Signez la pétition pour faire du vaccin un bien commun mondial : https://eci.ec.europa.eu/015/public







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